Un client, dans le domaine des médias, et dont l’activité a évolué de la publicité vers le long-métrage a vu sa capacité exploser ces dernières années. Habitué à manipuler des bandes, il en est arrivé à archiver plus de 4 PB par an sur des lecteurs standalone avec toutes les manipulations physiques de bandes que cela induit.

Lors d’un entretien, nous lui avons proposé d’automatiser ces opérations d’archivage en lui présentant des librairies de bandes automatisées qui réduiraient la charge de travail de ses équipes. Il était intéressé, mais la configuration de la librairie le laissait perplexe.

Nous avons ensuite travaillé ensemble sur le cahier des charges qui permettra de dimensionner la librairie qui s’adapterait à ses besoins à savoir :

  • Pour estimer le nombre d’emplacements de bandes : Quels éléments des films sur lesquels il travaille souhaite-t-il conserver dans la librairie ? Combien de temps ? Combien de films veut-il pouvoir conserver simultanément dans la librairie ?…
  • Pour estimer le nombre de lecteurs : quelle capacité de masters ou de rushs souhaite-t-il sauvegarder ou archiver chaque jour ? Quel est son besoin en rappels de fichiers ?
  • Pour estimer le type de librairie qui lui conviendra : de combien d’unités de racks ou d’espace au sol dispose-t-il dans sa salle technique ?…

Ainsi, nous avons traduit ces besoins « métiers » en plusieurs options de configurations de librairies qui peuvent répondre à ses besoins. Par exemple, comme les locaux de cette entreprise sont situés dans le centre de Paris, nous avons anticipé une problématique d’espace au sol et de coûts de stockage en  proposant une option avec la libraire T280 de Spectralogic.

Il s’agit de la seule librairie rackable intégrant des lecteurs 3592. Avec des bandes 3592JE de 20 TB natifs, elle peut contenir 5,22 PB sur 28U.